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Transcript

Le film

"Au revoir là haut" est un film Français d'Albert Dupontel. Il parle d'une gueule cassée qui essaye de se reconstruire après la guerre. Aidé par son ancien camarade de combat, Albert Maillard, qui vit aux alentours de Paris, ils vont tout faire pour avoir de l'argent et redonner un sens à leur vie bouleversée.

Ce film dénonce la société en traitant le pouvoir de l'argent et la place qu'il occupe. Pendant que de nombreux Français meurent au combat, les profiteurs de guerre "s'en mettent plein les poches". Edouard quant à lui ne pense pas à l'argent, il en veut juste pour vivre mais pas pour devenir riche étant donné qu'il est né dans un milieu aisé. Par exemple, il a les moyens de se faire opérer pour retrouver un visage entier mais il préfère se concentrer sur ses projets.

Dénonciation de la société

Pradellec'est MOI

Dans ce film, on peut voir que Pradelle fait de la corruption: il a de l'argent grâce à la guerre et en profite. Il paye le silence des autres pour s'enrichir encore plus et éviter qu'on le dénonce; c'est devenu quelqu'un d'important avec le pouvoir de son argent et plus personne ne peut l'anéantir sous peine de mort.

Pour s'exprimer, Edouard ne trouve qu'un seul moyen de se faire comprendre : il crée des masques, plus fantasques les uns que les autres, qui révèlent ses émotions. Ses masques évoluent tout au long du film, jusqu'au dernier qui est le plus majestueux de tous et le plus parlant. Il démontre son état psychologique ; c'est tout son monde qui s'effondre... Malgré tout, la reconnaissance finale de son père lui apporte la libération personnelle. Il a tenu le coup et finit par ne plus supporter son fardeau de guerre : celui de ne plus pouvoir vivre et s'exprimer normalement.

Les masques

Pour finir, l'histoire était touchante avec quelques pointes d'humour, détendant l'atmosphère. Les plans et effets étaient bien réalisés et semblaient réels. On était plongé dans les scènes de bataille et le Paris d'après guerre comme si nous y étions, ce qui rendait le film encore plus prenant. Ainsi, ces presque deux heures de film sont passées très vite et nous ont laissé avec une réflexion sur les conséquences de la guerre.

Conclusion