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Transcript

#problemater

4. Les enjeux

3. Le fonctionnement

2. Les pré-requis

Etapes & Rétrospective

5. Les outils

DES ECHANGES ENTRE TWITTCLASSES

Les P'tits comptent pas pour des prunes !

HABITUS ETPROCEDURES

DES PROBLEMES ET ENCORE DES PROBLEMES !

CLE DE 12 ET CLE USB

7. Comment participer ?

INSTANT PROMO

6. Ils en ont parlé...

Il suffit d'un tweet...

1. Naissance du projet

23. Les objectifs de #problemater S'entraîner à résoudre des problèmes mathématiques divers (comparaison, ajout, complément, échange, etc. ) à plusieurs puis seul. Une thématique par année : les billes par exemple pour la première session, les bonbons pour la deuxième. Une banque de problèmes est alimentée par les enseignants et s'enrichit au fil des jours de classe. Elle sert dans la première phase pour s'entraîner. Ensuite, c'est au tour des élèves de créer (seconde phase). Première phase : les classes avancent à leur rythme, s'entraînent en interne. La banque de problèmes est là pour permettre aux enseignants (et donc aux élèves) de débuter en confiance. Progressivement, on s'empare d'un énoncé qu'on propose également à sa twittclasse partenaire. On vérifie les réponses, on compare, on analyse. Bref, on échange autour des problèmes. Puis vient la dernière phase, naturelle : créer des problèmes... C'est tout l'intérêt de ce dispositif : coopérer avec ses camarades pour proposer un énoncé inédit que l'on proposera à sa twittclasse partenaire. Une tâche complexe qui a du sens pour les élèves, engagés dans un échange avec des pairs. Là encore, chaque classe élabore, soumet, réfléchit et répond sous la forme qu'elle souhaite. Les compétences en jeu sont nombreuses : celles liées au domaine des nombres et de leurs utilisations, mais aussi toutes celles nécessitant le langage oral (les débats, les argumentations, les justifications), le langage écrit (dictée à l'adulte et écriture des données) et l'utilisation des outils numériques (photo, vidéo, TBI, QR-codes..). En créant pour les autres, les élèves apprennent à se décentrer, à anticiper.

1. 1. La naissance du projet #problemater Avril 2016, l'envie de collaborer entre collègues pour proposer des défis mathématiques aux élèves les plus jeunes. Faire que les maternelles soient davantage incluses dans les projets inter-classes à distance... Une proposition lancée "pour voir" et qui a fait écho chez d'autres enseignants de maternelle, à l'instar de #défilire, #tagueson, .... Je voulais un dispositif simple, peu contraignant, laissant une réelle marge de manœuvre aux enseignants, tout en visant des valeurs et des objectifs communs. L'envie était là, il ne restait plus qu'à concrétiser !

1. 2. Les pré-requis de #problemater Tout tweet posté par une twittclasse vise à développer le sentiment d'appartenance à une communauté : celles des apprenants. Twitter, par sa spontanéité et sa praticité, facilite les échanges et les rencontres entre enfants, entre collègues, entre l'école et les familles. Plus on découvre et plus on a envie de découvrir, de partager, de questionner... Des twittclasses qui se suivent pour un objectif de travail commun

5. Les outils dans #problemater (numériques, ou pas !) Il n'y a pas de bons ou de mauvais outils, voilà la leçon à retenir. Les classes font en fonction du stade des apprentissages des élèves, de leurs équipements, de leurs habitudes, de leurs envies. La manipulation reste tout de même une phase indispensable avant le passage à l'abstraction. Souvent, les supports sont mixés : réels, symboliques, numériques, ... Petit florilège : Réflexion et manipulation avec des objets réels, et même des animaux réels ! Des objets substituts symboliques... Ou encore les éléments réels mais dessinés par les élèves. Comme toujours, les enfants aiment associer et mixer les supports (et les contextes ! :)) Les représentations imagées. On manipule des cartes/étiquettes en y associant des représentations que l'on connaît (doigts de la main, chiffres, constellations, ...). Les supports symboliques se mettent en place... Les outils numériques viennent en soutien à la réflexion, à la résolution et à la création des énoncés. QR-codes, applications sur la tablette, photos, vidéos, utilisation du TBI, ... En plus de découvrir des procédures, on découvre également des outils ! Après ces phases collectives et coopératives, on peut envisager des résolutions de problèmes en individuel et sur fiche.

7. Comment participer à #problemater ? C'est très simple... Il suffit de m'envoyer un tweet (@SeveHdbrg) ou un message. Pour rappel, avoir un compte Twitter de classe est indispensable (avec accord de sa hiérarchie). Le reste se fera en collaboration avec les autres collègues participant au projet (choix de la thématique, création de binômes pour les twittclasses, propositions de problèmes, etc.). La 3ème session aura lieu en période 3 (janvier-février 2018) puis en période 5 (mai-juin 2018). C'est donc le moment de se manifester et de se lancer !!! Pour plus d'informations, suivre la balise #problemater (ou consulter l'article du café pédagogique par exemple ici). Ne pas hésiter à me poser des questions, ou me faire part de propositions. Le projet est ouvert, en évolution, et se révélera pérenne je l'espère ! Parce qu'en maternelle aussi, on a le droit à nos problèmes ! ;)

34. Les enjeux de #problemater Permettre aux élèves de développer un habitus lié à la résolution de problème et se rassurer sur ses procédures... La résolution de problèmes est un domaine souvent difficile à enseigner, à faire aimer. En coopérant, on allège les peurs, on partage ses connaissances, on s'entraide. La répétition favorise une aisance et une systématisation des procédures mathématiques. Avec les réponses des autres classes, on permet à nos élèves d'analyser, de comprendre et découvrir de nouvelles procédures… que l'on pourra ensuite s'approprier ! Tout n'est pas toujours rose, les élèves se trompent, sont exigeants entre eux, malicieux, mais également patients et bienveillants. En développant cet habitus, le passage à la résolution de problème en individuel devient alors plus aisé.

6. Ils ont parlé de #problemater Les twittclasses en maternelle ne sont pas légion sur Twitter. Cependant, le projet a reçu un joli accueil, preuve qu'il y a encore beaucoup à faire pour la maternelle et pour les mathématiques... Je remercie ici chaleureusement tout ceux qui ont relayé, encouragé, participé, aimé ce projet. (Et je m'excuse par avance pour l'auto-promo !). Le lien vers l'article du Café Pédagogique : http://www.cafepedagogique.net/lexpresso/Pages/2017/04/05042017Article636269756039324990.aspx Lien vers le site de Nicolas Pinel : Résolution de problèmes Résolution de problèmes: Les activités de résolution de problèmes sont importantes. Elles permettent de travailler le champ numérique, de faire chercher, modéliser, communiquer... Quelques propositions: situation pb_porte conteneurs situation pb_train Chemin couleurs Chemin couleurs2 Formes des couleurs Formes superposees Les statues Rallyes maths: voir un rallye ici: http://blog.ac-rouen.fr/circ-lillebonne-defi-maths/category/presentation-defi-maternelle/ et d'autres ailleurs.. La Méthode Heuristique de Mathématiques https://methodeheuristique.com/maternelle/resolution-de-problemes/ Et celui de M@ths en-vie http://www.ac-grenoble.fr/ien.st-gervais/mathsenvie/ M@ths en-vie M@ths en-vie n'est pas une méthode mais un dispositif qui peut être mis en œuvre en autonomie dans sa classe. Cependant, il est possible d'envisager une collaboration entre classes afin de donner plus de corps aux différents activités et ce, au travers de situations de communication réelles entre élèves, notamment via des outils numériques. Ac-grenoble L'avis de ceux qui ont participé. Un grand merci pour leur confiance, leur enthousiasme et leur implication !