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-Ana, il faut que j’appelle mes parents, essayait d’expliquer Alice à sa correspondante. Elle venait tout juste de finir de ranger ses affaires, après son arrivée en Espagne. Alice allait passer une semaine chez Ana, sa correspondante espagnole. Ana vivait dans un petit village de pêcheurs, au bord de la Méditerranée. Le problème, c’était que dans ce petit coin retiré, il n’y avait pas de réseau. Alice étais alors partie à la recherche d’un endroit où il y en avait, car elle avait promis à ses parents de les appeler. Alice longeait la mer en profitant du vent chaud qui emmêlait ses cheveux et lui caressait la peau. Elle écoutait avec plaisir la douce mélodie des petites vagues qui se retiraient. « Ce n’est pas à Paris que je vis des moments comme ça ! »pensait-elle. Mais alors qu’elle humait la belle odeur de la plage, de drôles de formes attirèrent son attention. En s’approchant, la petite fille découvrit avec surprise un amphithéâtre de l’antiquité. Il était étonnamment bien gardé. Curieuse, Alice grimpa dans les gradins. Cet endroit lui inspirait calme et paix intérieure. Pourtant, quelque chose clochait. Alice en était convaincue. Malgré la chaleur du mois de juillet, elle frissonna. Plus elle restait ici, plus un étrange malaise grandissait en elle. Alice s’immobilisa quand son pied heurta un drôle d’objet. Un bruit de vieux bois résonna à ses oreilles. En baissant les yeux, elle vit qu’il s’agissait d’une très ancienne poupée articulée. Plutôt intriguée par ce vieil objet, Alice se pencha et ramassa la poupée. Elle la tenait du bout des doigts, de peur de l’abîmer. Mais la tête, d’Alice commença à tourner et elle dut s’asseoir pour ne pas tomber. Une goutte de sueur froide perla à son front. Alice ne comprenait pas ce qui lui arrivait. Elle se mit à trembler puis, tout à coup, s’évanouit. Alice ouvrit les yeux. Elle voulut se relever, mais elle en était incapable. Tout son corps semblait immobilisé. Une main la tenait fermement par la taille. Cela lui sembla louche. Une main ne pouvait pas être assez grande pour la tenir par la taille. Le ciel semblait plus sombre, et un brouhaha infernal emplissait l’atmosphère. Soudain des cris s’élevèrent et Alice sentit qu’on la portait. C’est alors qu’elle vit que l’amphithéâtre était rempli. Les gens étaient habillés comme au temps des Romains. Tout le monde était heureux. Des chars faisaient la course sur la piste. Alice, toujours incapable de bouger, sentit une paire de mains la manipuler avec précaution. La propriétaire de ces mains tourna Alice face à elle. C’était une petite fille aux adorables boucles brunes. - Tu as vu petite poupée ? fit la voix fluette de la fille. C’est une course de chars. C’est mon cadeau d’anniversaire. Papa et maman m’ont amenée ici pour mes sept ans. Et demain, je vais à l’école pour la première fois ! La petite fille serra Alice dans ses bras et celle-ci se trouva nez à nez avec un drôle de collier. « Je reconnais ce collier, pensa Alice. On en a parlé en cours. C’est une bulla. Une amulette qui écarte les mauvais esprits. Mais c’était au temps de Romains. Alice essayait de comprendre. Était-elle revenue des milliers d’années avant son ère ? Se trouvait-elle dans le corps de la poupée ? Cette conclusion était insensée. - Maintenant, cria une voix d’homme, nous allons procéder à un tirage au sort ! Souvenez-vous, quand vous êtes entrés dans l’amphithéâtre, certains d’entre vous ont acheté des jetons en métal pour participer à ce tirage au sort. Le premier lot est un tour en char ! Le gagnant est… La personne qui a un rétiaire gravé sur son jeton ! Un silence s’ensuivit. -C’est moi ! cria la fillette qui tenait Alice. Alice sentit que la petite fille la déposait là où elle était assise. Alice comprit aux rires de la petite fille qu’elle faisait son tour en char. Mais elle fut étonnée quand elle entendit un lion rugir tout près. La fillette poussa un hurlement aigu et le public commença à s’agiter. Des cris à la fois choqués et affolés secouèrent la foule. Mais Alice, allongée sur le dos, ne pouvait voir que les toiles mobiles qui protégeait les spectateurs du soleil. Puis, elle sentit que quelqu’un la secouait doucement. Alice ferma ses yeux de poupée et les rouvrit. Ana, sa correspondante, était penchée au dessus d’elle. -Alice, ça va ? Depuis quand es-tu là ? la questionna Ana. Tu t’es évanouie. Alice regarda son avant-bras, qui lui faisait mal. Elle avait une énorme piqûre. -Tu t’es fait piquer ? continua Ana. Les insectes sont redoutables cette année. Viens. On rentre à la maison soigner ça. -J’ai rêvé que j’étais la poupée, dit Alice d’une voix fatiguée en se relevant. -Comment ? Ah ! C’est sûrement la piqûre qui te donne des hallucinations. Mais surtout, ne reviens jamais ici, la mit en garde Ana. -Pourquoi ? s’étonna Alice. -Parce que cet endroit est hanté ! Il paraît qu’une tragédie aurait eu lieu il y a très longtemps. Une petite fille serait morte et son esprit hanterait cet endroit. Des gens auraient déjà mystérieusement disparus. Alice pâlit et les cheveux sur sa nuque se hérissèrent. Sa respiration s’accéléra. Se pouvait-il que la poupée lui ait fait revivre la tragédie ? Non. C’était sûrement la piqûre, avait dit Ana. Un ultime frisson la parcourut quand son pied effleura la poupée,qui était tombée. Lucie ****************************************************************** Ce matin-là, la journée s’annonçait plutôt bien Robin et Brice allèrent chercher les croissants pour leurs petites amies Sabrina et Délia .Brice décida d’aller voir l'amphithéâtre de Tarragone en Espagne .Sabrina dit que c'était une très bonne idée. Arrivés à l’Amphithéâtre de Tarragone ,Sabrina proposa d'aller se renseigner pour une séance de visite .Ils commencèrent à rentrer dans l’amphithéâtre. Délia fit remarquer que le lieu avait quelque chose d'épouvantable . Sabrina trouvait cela magnifique. Les filles et les garçons décidèrent de se séparer et de se donner un point de rendez- vous. Ils se fixèrent un rendez-vous à seize heures devant l’entrée principale. Les filles partirent de leur côté et commencèrent la visite .Elles rentrèrent dans l’arène et virent une petite porte au loin . Sabrina appela Délia car elle avait trouvé une petite porte. Une fois que Délia fut arrivée à la porte où Sabrina l’attendait, elle demanda à Sabrina d'entrer en premier. Elles se disputèrent pour savoir qui irait et finalement Délia entra. Les filles étaient dans la petite grotte , il n’y avait personne juste une lignée de torches pour éclairer ,il y avait des squelettes de gladiateur encastrés dans le mur. Délia et Sabrina se serrèrent de plus en plus l’une près l’autre car elle trouvèrent cet endroit inquiétant . Tout d'’un coup Sabrina entendit un bruit étrange. Elle demanda à Délia si elle avait entendu cela. Elles se retournèrent et virent une armé de gladiateurs avec des épées. Il faut préciser que tous étaient des squelettes. Délia et Sabrina commencèrent à partir et elles appelèrent Brice et Robin en criant. Robin compris que les filles avaient besoin d'eux. Ils se dirigèrent vers les voix et aperçurent les filles qui couraient. Brice pensa que les gladiateurs voulaient tuer les visiteurs car il avait lu dans le guide la légende selon laquelle l’amphithéâtre serait maudit. Personne n'était vraiment bienvenu dans cet amphithéâtre. Ils sortirent de la grotte et arrivèrent dans l’arène .Ils se retournèrent : il n’y avait plus personne, plus de gladiateurs. Les filles décidèrent d’aller chercher un guide pour lui montrer ce qu'elles avaient vu dans la grotte. Les gladiateurs étaient à leur place, en pierre, encastrés dans le mur .Le guide dit : - Il n’y a personne vous avez eu une hallucination ! Les garçons décidèrent de sortir de l’amphithéâtre avec l'accord des filles. Ils décidèrent d'aller boire un verre mais lorsque Brice proposa ensuite de visiter un musée, personne n'accepta. Ils décidèrent tous de rester loin de tout cela pour le moment. Gabin *************************************************************** Descripción por Gabin. Es un anfiteatro. Está hecho de piedra y no está pintado. Está muy estropeado.Es un anfiteatro muy antiguo ya que pertenece al periodo romano. Pertenece al siglo II.

**************************************************************** Bonjour je m’appelle Pablo. Je vais vous raconter une histoire extraordinaire que j’ai vécue il y a plus deux ans . J’angoisse quand je la raconte. Je pense que cette journée n’aurait jamais dû exister. Un jour d’été je marchais et je vis une poupée sur le bord de la route. Je pris la poupée chez moi, je ne pensais pas qu’elle me ferait autant de mal. Je la mis dans mon coffre à jouets et rien n'arriva. Le soir-même, je me réveillai pour boire un verre d’eau et je vis des bougies autour de la poupée. J’étais terrifié. Je crus que c’était un rêve , je me rendormis. Mais ceci se produisit tout les soirs et je ne voulus pas le dire à mes parents. Un soir je pris mon courage à deux mains et allai voir la poupée. Je décidai de regarder des vidéos pour essayer de rentrer en contact avec elle le lendemain soir. Je réussis. La poupée me parla et me dit d'une voix grave qu'il ne fallait pas jouer avec elle. Elle me posséda et je me réveillai dans mon lit en ayant tout oublié. Avant d’aller déjeuner, j'eus envie de tuer mes parents. Vous allez me dire que je suis fou mais c’était la poupée qui me possédait. J'allai chercher un couteau et allai dans la chambre de mes parents. Là, je repris mes esprits et jetai le couteaux par terre. Mon père se leva, me sera dans ses bras pour plus que je ne bouge et je réussis à me libérer. Je partis dans ma chambre et la fermai à clé. Mon père tapa à la porte et je pris une voix grave. Je criai, je criai tellement fort que les objets de mon placard tombèrent. Au moment ou mon père arriva, j’étais dans un autre monde. Je voyais l’Enfer, je voyait du feu, c’était comme si cette poupée avait un lien avec l’Enfer. C’était très bizarre. J’arrivai devant un miroir et en fait j’étais Lucifer, le roi de l'Enfer en quelque sorte. J’essayai de trouver la sortie pour revenir sur terre. Là, je trouvai une porte, je fis un pas et je tombai dans le vide. J’étais apeuré. Dans l’air, je m’endormis. Je me réveillai à l’hôpital et mes parents m'expliquèrent que je sortais d'un long coma. Maintenant, je vais mieux mais je suis des séances de psychothérapie car j'ai encore des visions. Enzo **************************************************************** Ce matin-là, la journée s’annonçait plutôt bien pour sortir faire les magasins pour Noël. John sortit acheter un sapin et des décorations de Noël, et puis il alla visiter un magasin de jouets espagnols pour les cadeaux. Il trouva beaucoup d’objets bizarres, et tout à coup il vit une poupée en bois articulée. Il alla voir le vendeur pour s’informer par rapport à la poupée. Le vendeur lui dit que c’était une poupée destinée aux garçons et dangereuse pour les filles. John n’écoutait pas et n’en fit qu’à sa tête, il acheta la poupée. En rentrant chez lui, il posa le cadeau sous le sapin et Cassandra le vit : celle-ci était folle de joie. Le lendemain matin, Cassandra commença à jouer avec la poupée. Elle parlait avec la poupée, John trouva cela normal. Tout à coup il vit la poupée avancer vers Cassandra. John était effrayé et il alla prendre ses médicaments car il était atteint d’une maladie psychologique qui lui donnait des hallucinations. La nuit pendant que John dormait, il entendit sa fille faire du bruit et parler. John alla voir et ne vit que sa fille et la poupée. John demanda à sa fille avec qui elle parlait. La fille répondit que c'était avec sa poupée. Le lendemain matin à l’école de Cassandra, pendant la recréation, un garçon pointa son lance-pierre vers la poupée de Cassandra. Tout à coup, il fit tourner son lance-pierre vers sa tête sans comprendre pourquoi. Le soir John alla chercher Cassandra et le directeur raconta ce qui s’était passé. Le directeur le lui dit que sa fille était sûrement possédée par la poupée. John paniqua. En rentrant à la maison il dit à Cassandra qu’il devait rendre la poupée au vendeur. Il prit la poupée et la fille prit un couteau et le lança à coté de John. John prit un briquet et brûla la poupée. La poupée poussa un cris strident et courut partout. Elle brûla la maison mais personne ne sut ce qui s’était réellement passé. Hosni **************************************************************** Cela se passa le 31 Octobre, bizarrement le jour d'Halloween. J'ai failli oublier de me présenter, je m'appelle Jean et j'ai trois frères : Marcus, Pablo et Adrien. Tout commença en début d’après-midi. Nous décidâmes d'aller acheter une décoration terrifiante pour notre maison. Nous entrâmes à l’intérieur de la boutique d'un antiquaire où nous repérâmes une poupée articulée qui vous glaçait le sang au premier regard. Nous décidâmes de l'acheter et de rentrer chez nous. Nous la posâmes dans une chambre. Nous repartîmes, sauf Pablo qui resta à la maison pour se reposer un peu avant Halloween. Quelques heures plus tard nous rentrâmes et vîmes la chambre de Pablo en désordre. Tout avait été cassé et notre frère se cachait dans un placard. On eut dit qu’il avait peur de quelque chose ou d'une personne. Il nous expliqua tout en détail mais nous pensâmes qu'il était fou. Une heure avant Halloween je décidai dallais acheter des bonbons et des costumes. Je pris ma moto et allai dans un magasin. « Bizarre, me dis-je, tous les magasin sont fermés. » Enfin pas tous, il y avait un magasin qui était ouvert : la boutique d'antiquités. Je m'y rendis. Les portes se renfermèrent derrière moi. Je pensais que c’était un courant d'air. On aurait plutôt dit un esprit ou un fantôme, comme si on me surveillait. Je me dirigeai vers la gérante du magasin payai et partis. Je rentrais à la maison lorsque je sentis mon téléphone sonner. C’était Adrien qui m'appelait pour me dire que la poupée s’était volatilisée. Je me dépêchai de rentrer pour les aider à chercher. Nous décidâmes de retourner au magasin d'antiquités pour parler à la gérante. Elle n’était pas là mais nous vîmes ses vêtement sur le sol. Nous envisageâmes de repartir mais nous n’arrivâmes pas à ouvrir les portes du magasin. Nous passâmes par les conduits d’aération. Au bout de quelque mètres, nous eûmes l'impression d’entendre des bruit de pas. Nous nous arrêtâmes et les pas devinrent de plus en plus forts. Nous aperçûmes une ombre, approchâmes et vîmes la poupée. Elle parlait dans une langue étrange : on eut dit du latin. Elle commença à nous agresser. Elle nous fit tomber des conduits d’aération. Elle tortura mon frère jusqu'au terme de sa vie. Elle me laissa la vie sauve. Tous ces événements m’ont fit tomber dans le coma. Je ne sus jamais ce que devinrent mes deux autres frères ... Yann **************************************************************** *************************************************************************************************** Descripción por Hosni, Lucie y YannEl objeto es una muñeca romana articulada. Está hecha de madera y no está pintada. Es de color marrón. No está estropeada.Es una obra muy antigua porque pertenece al periodo romano: fue creada entre 301 y 400 después de Jesucristo. Pertenece a los siglos IV y V.La muñeca es de tamaño pequeño: mide veintiún centímetros de altura. Representa a una mujer.Podemos encontrar este objeto en el museo de una ciudad que se llama Albacete, en Castilla la Mancha. Está en el centro de España.Te aconsejamos que vayas a ver este objeto porque es bonito, original y diferente.

********************************************************* En ce début d'été, la famille Baura arrive dans le château de d'Iznàjar qu'elle à loué pour les vacances. Dans cette famille il y a Jean, le père, Morgane, la mère, Brandon, le fils de quatorze ans, et Marine sa sœur de dix ans. Des deux enfants, Marine est la plus dynamique. Elle fait souvent des bêtises et court toujours partout. Ses parents ont voulu des vacances dans un lieu entouré de nature et chargé d'histoire. Très vite tout le monde s'est installé dans le château. Marine a déjà exploré toutes les pièces, elle fut particulièrement attirée par le buste à l'entrée. Le buste représentait une femme romaine voilée, avec des yeux un peu bizarres. Le soir venu, la famille commença à manger. Tout à coup ils entendirent un étrange bruit. Marine décida d'aller vérifier si un chat ne serait pas entré dans la cuisine. En regardant vers l'entrée, il lui sembla voir une lueur, elle s'approcha. Les yeux du buste devinrent d'un bleu brillant. Elle eut peur mais elle trouva tout cela extraordinaire. Elle revint à table en disant que c’était juste quelque chose qui était tombé. Le soir arriva, tout le monde alla au lit. Dans la nuit Marine entendit à nouveau l'étrange bruit, elle se leva un peu paniquée, son cœur battait vite. Elle descendit les escaliers en regardant devant et derrière elle. Elle fut attirée par le buste. Les yeux furent de nouveau éclairés. Ils projetèrent sur le mur l'ombre d'une forme humaine. Marine prit peur mais elle ne put pas crier. L'ombre sur le mur ressemblait à la femme voilée du buste. L'ombre commença à parler à Marine d'une voix douce et rassurante. Marine eut de moins en moins peur. Elle écouta la voix qui lui raconta qu'elle était l'ange gardien du château. Les jours passèrent, et ce fut l'heure pour la famille Baura de quitter le beau château mystérieux. Marine dit au revoir à l'ombre du buste, elle gardera le secret toute sa vie. Claire *********************************************************

************************************************************ Si je vous raconte cette histoire, c'est que cela devient trop lourd à porter, depuis plus de vingt ans que ça m'est arrivé. Tout commença le deux octobre mille neuf cent soixante trois, un lundi ou ma mère me demanda de mettre en vente une amulette qu'elle avait trouvé dans le grenier. Elle resta vingt minutes puis elle partit pour travailler, alors, je m'installai à mon bureau pour examiner l'amulette. Je constatai que je la vendrai pour un bon prix. Je commençai le travail à treize heures trente et cela dura jusqu’à vingt heures quinze. Je partis en espérant que mon patron puisse vendre l'objet. Malheureusement, il ne voulut pas car il n'avait plus de place dans ses vitrines. En rentrant chez moi je ne pris même pas le temps de manger. Je partis directement me coucher en posant l'amulette dans la salle de bain. Je repensai à la journée en me disant que je la vendrai toute seule. Je m’allongeai sur mon lit pour dormir, quand tout à coup je crus voir une lumière bleue et chaude venant de la salle de bain. Je pensai que c'était mon imagination. Le lendemain matin, je fis à manger, le temps que mon café se fasse je partis me doucher. En voyant l'amulette j'étais choquée : elle avait changé de place. Je pensais que c'était mon imagination qui délirait encore. Je me sentis mal à l'aise. La journée passa si vite. Je n'eus même pas le temps de faire le ménage qu'il était déjà l'heure d'aller se coucher. En allant chercher un verre d'eau, soudain j'entendis des pas d'enfant très légers qui couraient sur le parquet de la cuisine. À ce moment-là je me sentis observée. Les pas avancèrent jusqu'à moi. Je me retournai et vis la silhouette d'un grand homme maigre. On aurait dit qu'il avait été poignardé dans le cœur. En voyant cette scène, je ressentis un élan de tristesse. Soudainement je vis l'amulette autour de son cou. Une sorte de combat de regards se joua entre nous deux. Je voulais engager la conversation mais aucun mot ne put sortir de ma bouche, j'avais l'impression d'être muette, j'avais peur, j'étais paniquée et affolée en même temps. Cette sensation me terrorisait beaucoup mais une sensation de bien être se fit ressentir. Une petite conversation s'engagea entre nous, mais je décidai de raccourcir l'échange et de lui reparler le lendemain pendant mon seul jour de congé. Pendant cette conversation nous parlâmes de son meurtre, de son agresseur, de son choix, des dieux, il me dit tout de lui. Nous passâmes plusieurs mois ensemble. Je pense que des sentiments naquirent chez lui autant que chez moi. En reprenant tous les faits, nous trouvâmes finalement le nom du coupable du meurtre. Arthus, c'est le nom de l'esprit qui était sorti de l'amulette, me dit qu'il faudrait un mois pour qu'il puisse faire son choix. Son dilemme était que soit il deviendrait humain mais devrait m'oublier soit il resterait comme il était mais il pourrait rester avec moi. Aussi triste que cela puisse paraître, le moment du choix arriva mais Arthus ne voulut pas se décider, pensant que je serais trop triste. Comme il était trop lent pour les dieux, ils décidèrent de l’emmener avec eux sans qu'il ne puisse rien dire. Dans ma tristesse je restai un mois sans sortir de chez moi, un soir je réentendis les pas d'Arthus. Je me précipitai dans la maison, mais il n'y avait rien. Je ne sais pas où il est mais il me manque beaucoup. Anaïs ************************************************************ Ce matin là, un jour d'automne, Shawn n'aurait jamais imaginé se réveiller avec Heather dans une chambre qui n'était pas la leur et même une ville dont ils ne savaient rien. Mais ce qu'ils ne savaient pas c'est qu'elle était loin d'être une ville ordinaire... Heather et Shawn s'étaient rencontrés à Washington Central University lors de leur première année. Ils avaient des casiers côte à côte et se parlaient pendant leur temps libre. Heather était amoureuse de lui mais elle ne voulait pas le lui avouer. Comment pouvait-elle le lui dire alors qu'elle n'était même pas sûre qu'il tenait à elle ? Alors elle préféra ne rien dire pour ne pas le regretter. Mais Shawn, lui, eut un véritable coup de foudre pour elle mais contrairement à Heather, il voulait le lui faire comprendre. Il l'invita au marché de Noël et lui fit des avances, se pencha et l'embrassa. Et depuis ce jour, ce fut le parfait amour. Pour les dix-huit ans d'Heather, Shawn lui offrit un bracelet avec le symbole du cœur infini. Elle fut très touchée et en eut les larmes aux yeux. La meilleure amie de celle-ci, Lindsay, qui arrivait toujours en retard d'habitude fut pour une fois la première arrivée suivie de Shawn ce qui surprit Heather à son réveil. Elle lui offrit son cadeau tandis que Shawn préférait attendre d'être seul avec sa petite amie. Heather ouvrit l'emballage du cadeau. Elle découvrit un pendentif en or très étrange. Lindsay lui dit qu'il était peut-être affreux mais qu'au moment où elle le mettrait elle serait ailleurs... Heather eut du mal à la croire et se mit à rire mais elle vit que son amie ne rigolait pas et était sérieuse. Elle lui demanda alors : « Si je le met pour traverser notre monde, crois-tu que si je l'enlève je reviendrai ici ? » Lindsay lui répondit que c'était probable ! Heather voulu que Shawn l'accompagne et il accepta sans hésiter. Elle le prit dans ses bras et lui dit qu'elle l'aimait. Ils savaient qu'il y avait un risque mais ils voulaient le faire. Shawn était de nature audacieuse et le prit comme un défi. Shawn mit le pendentif à Heather mais elle l'arrêta, elle était tétanisée, elle suait. Elle appréhendait le moment où elle serait là-bas. Que leur arriverait t-ils ? Il la rassura du mieux qu'il put puis la prit dans ses bras. Elle lui dit qu'elle était prête et elle ferma les yeux. Au moment où elle rouvrit ses yeux bleu-gris, elle était dans une chambre qui semblait dater des années 1900. Heather et Shawn furent tellement surpris. Ils n'en croyaient pas leur yeux. Ils se levèrent d'un même mouvement pour sortir de cet endroit. Le couple entra main dans la main dans une pièce où des personnes se tenaient, mais ne semblaient pas les apercevoir. Seule une femme les fixait et elle s'avança vers eux. Heather broya la main de Shawn qui fit une grimace à cause de ce geste. Cette femme paraissait âgée et méchante. Shawn qui ne montrait jamais ses faiblesses, sembla terrifié. Un regard noir marqua le visage de cette inconnue prénommée Theresa. Le couple partit en courant pour fuir cette femme odieuse. Ils virent le panneau "Madrid" et demandèrent à des personnes s'ils pouvaient trouver un aéroport mais ils se rappelèrent qu'à cette époque il n'y en avait pas. Ainsi, le seul moyen de rentrer chez Heather était de prendre le bateau. Ils voyagèrent pendant plusieurs semaines. Heather et Shawn rentrèrent à la maison. Une fois dans la chambre, ils s'assirent sur le lit d'Heather. Avaient-ils rêvé ou bien était-ce la pure vérité ? Shawn prit le pendentif et alla l'enterrer. Quand ils redescendirent dans le salon, seulement dix minutes s'étaient écroulés depuis qu'ils étaient partis là-bas. Gladys ************************************************************

************************************************************************************************************ Après une belle journée de musée remplie de visites, la fermeture des portes approchait. La nuit était déjà tombée en ces temps d’automne se rapprochant de l’hiver. Tout le monde partait en laissant seul, comme à son habitude, le seul gardien de nuit du musée. Quelques lumières étaient allumées dans ce grand bâtiment silencieux, et il commença à avaler une première tasse de café brûlant. Une heure puis deux passèrent puis il avala une seconde tasse de café tiède. Il était déjà cinq heures mais il tenait le coup avec une autre tasse de café froid. Quelques petits bruits se firent entendre. Et tout d’un coup, il y eut un violent choc au premier étage. Évidemment, fidèle à son métier, notre gardien bondit et d’un pas accéléré et assez nerveux, commença à monter les marches de cet immense escalier. Arrivé en haut, tout bruit avait disparu. Il passa près d’une bonne demi-heure à vérifier qu’il n’y avait rien dans cette pièce maîtresse du musée. Voyant que tout était calme, il décida de retourner en bas. Mais à peine avait-il descendu quelques marches que de nouveau le bruit recommença. Un sentiment d’inquiétude l’envahit. Revenant quand même à l’étage, il entendit que des pas s’approchaient, s’éloignaient… Le gardien, stupéfait, remarqua que la statue principale de cette salle n’était plus là, qu’elle avait complètement disparu. Il était surpris de ne pas avoir entendu plus de bruit dans la mesure où elle aurait été volée ou serait tombée car elle pesait environ quarante kilos. Ahuri, il paniqua en regardant à nouveau partout autour de lui. Les bruits recommencèrent de plus belle. Se sentant effrayé par cette situation si peu commune, il commença à trembler. Immobile, seul, au milieu de la pièce, il sentit un souffle chaud et vif près de sa nuque. Commençant à transpirer, il pensa qu’un humain ne respirait pas aussi fort. Ses muscles étaient tétanisés de peur et ne pouvant plus bouger, il attendait là comme un vulgaire soldat de plomb. Notre gardien sentant quelques petits coups dans le dos, pensa que, peut-être, cette chose pouvait être un animal. Il fallait se retourner, il en était certain. Alors il le fit mais il n’aurait peut-être jamais dû… Il vit en premier ses yeux rouges luisants remplis de haine, ses naseaux qui se gonflaient à chaque respiration. Il vit cette tête d’un vert foncé profond. Elle lui paraissait énorme. Il réalisa enfin, que devant lui, il affrontait bien le regard du cheval au galop qui était la fameuse statue phare de ce musée, bien vivante et angoissante. Mais le cheval mit un terme à l’admiration trop longue que lui accordait notre gardien. Cette créature avait ses yeux plongés dans les siens. Il lui fonça dessus. Le lendemain, la journée commença mais de façon inhabituelle. Il manquait quelqu'un : notre gardien de nuit. On ne le retrouverait jamais car il n’y avait aucun témoin et l’enquête fût classée sans suite. Le musée garda secrète cette disparition afin que sa fréquentation ne diminue pas. Épilogue Les gardiens se succédèrent en disparaissant chacun à leur tour chaque nuit. Les volontaires étaient de moins en moins nombreux pour ce travail. Par contre, personne ne remarqua jamais que quelques soldats de plomb se rajoutaient à chaque fois au fil du temps dans la vitrine, près de la statue de cheval. Ils avaient tous différentes expressions mais sur chacun de leurs visages, on pouvait lire de la terreur… Jade ************************************************************************************************************ Jules habitait, avec ses parents dans un petit village perdu au beau milieu de la campagne. Jules avait dix ans ce jour-là. Son père l’emmena à l’école à huit heures comme tous les matins. Sa mère travaillait dans la seule boulangerie du village tandis que son père était maître d’école dans la même école que jules mais en petite section. Le soir, tout le monde rentrait à la maison. Virginie, sa mère, avait ce soir-là, préparé une soupe. Jules après dîner alla se coucher. Sa chambre se situait à l’étage et celle de ses parents était en bas. La salle de bain était en face de la chambre de Jules. Sa chambre était bleue avec un petit lit contre un mur et beaucoup d’éléments de décoration dont une state qui représentait un cheval bleu à qui il lui manquait trois pattes. Il était posé en face de son lit sur une commode. Jules alla se coucher comme tous les soirs. Ce soir-là ne fut pas comme les autres. Il alla se coucher et s’endormit très vite. A quatre heures du matin il fut réveillé par un bruit qu’il avait entendu. Jules était pétrifié, il entendait toujours ce bruit sur sa commode comme si quelque chose bougeait mais il n’osait pas regarder. Au bout d’un moment il sortit la tête de sous sa couette et il vit le cheval qui était en train de bouger. Soudain ils se regardèrent droit dans les yeux. Le cheval se mit alors à galoper vers l’enfant, alors il se recacha sous sa couette, puis plus rien… Au bout de quelques minutes, Jules sortit la tête et le cheval était là sur la rampe de son lit juste en face de lui. Le cheval le vit et reprit sa course, il commença à l’attaquer. Ses parents, eux, pensèrent qu’il faisait un cauchemar avec toute cette agitation. Jules se débattait comme il pouvait de toutes ses forces mais le cheval l’attaquait, le mordait, du sang apparaissait sur les draps blancs et la tache grossissait. L’enfant souffrait, était affolé ! Jules avait terriblement peur. Son père commençait à se poser des questions, donc il monta voir mais Jules dormait profondément et rien dans la chambre n’avait bougé… Alors son père referma la porte et repartit. Mais Philippe, son père, n’avait rien pu voir : Jules n’avait jamais arrêté de souffrir. Il essaya de se pincer pour voir si c’était un cauchemar mais non, le cheval continuait à lui faire mal. Pourquoi faisait-il cela ? Quand soudain Philippe fut réveillé par un cri, il eut très peur. Virginie dormait, elle n’avait rien entendu. D’un pas décidé, il courut et monta les escaliers. Il trouva Jules mort et aperçut la grosse flaque de sang qui l’entourait. Pourtant rien dans la chambre n’avait bougé. Philippe se dirigea en pleurant vers Jules et l’embrassa, épouvanté de voir son fils dans un te état. Il fit le tour de la chambre pour commencer à chercher des indices. Rien, rien dans la chambre n’avait bougé, les fenêtres et les volets était fermés et tout était à sa place, même le cheval. Philippe descendit et réveilla virginie, en pleurs, puis il lui expliqua la scène terrifiante qu’il avait vue. Ils montèrent tous les deux et s’agenouillèrent à côté du cadavre encore frais. Virginie et Philippe ne revenaient pas de ce qu’il venait de voir. Ils étaient affolés. Il serait bientôt cinq heures du matin. Ils ne savaient plus quoi faire alors ils contactèrent un médecin légiste qui vint immédiatement et ausculta de cadavre. Il se demandait comment il était mort car aucun indice, aucune preuve n’était à leur disposition. Quelques mois plus tard, ils étaient tous remplis de doutes et encore sous le choc. Jamais ils ne surent comment Jules était décédé… Adèle ************************************************************************************************************ Descripción por Adèle y Jade El objeto es una escultura y se llama "Cheval au galop". Está hecha de bronce y no está pintada. Es una obra muy antigua ya que pertenece al periodo romano. Fue creada entre 700 y 800 antes de Jesucristo. Fue descubierta en 1924. Está un poco estropeada. Representa un caballo. Mide 1,80 metros de altura y 1,20 metros de anchura. Podemos encontrar esta obra de arte en el museo de arte romano de Mérida en el suroeste de España. Te aconsejo que vayas a ver esa obra porque es hermosa, diferente y original.

************************************************************************************************* Cela s’était passé un soir d’Halloween, les deux filles allaient se déguiser pour aller chercher des bonbons. Elles virent une maison dans la forêt, les deux amies décidèrent d’y aller. Elles toquèrent à la porte, personne ne répondit. Sur le chemin du retour, l’une des deux vit quelque chose sur le tronc d’un arbre. Elle s’arrêta et alla chercher l’objet qui brillait : une bague. Elles décidèrent de la ramener chez elles. Les deux amies s’endormirent en laissant la bague sur l’étagère de la chambre. Au bout de quelques minutes, elles entendirent une voix, elles se réveillèrent en sursaut. Elles crurent que c’étaient des personnes dehors qui parlaient. Les deux amies virent une lumière verte sur la bague, elles s’approchèrent et entendirent une voix dans la bague. Les deux filles hurlèrent. Elles décidèrent de ramener la bague à l’endroit où elles l’avaient trouvée. Le lendemain, sur le chemin du collège, elles virent la bague posée sur un mur. Elles passèrent devant sans s’arrêter. A la fin de la journée elles revirent la bague accrochée sur la branche d’un arbre. Le jour suivant en allant au collège elles retrouvèrent la bague sur le trottoir à côté du collège. Le jour suivant, elles revirent la bague. Les deux filles décidèrent d’aller la montrer à un spécialiste pour en savoir plus. Les deux filles arrivèrent chez le spécialiste et montrèrent la bague. Le spécialiste la regarda, ne parla pas et au bout de quelque minutes il fit une tête bizarre. Il leur annonça que la bague appartenait à une sorcière très méchante. Les deux filles, effrayées, lui demandèrent ce qu’il fallait faire. Le spécialiste leur dit de mettre la bague à l’auriculaire à la pleine lune. La sorcière apparaîtrait. Les deux filles discutèrent avec la sorcière. Le soir venu, l'une des deux filles mit la bague à l’auriculaire et la sorcière apparut. Les deux filles discutèrent avec la sorcière. Elles discutèrent longtemps. La sorcière leur conseilla de faire très attention aux garçons parce que dans sa jeunesse ils étaient très méchants. « Je sais reconnaître les garçons méchants, alors dès que vous vous approcherez de l'un d’entre eux, je vous avertirai grâce à ma bague ! » Les deux filles furent d’accord avec cette proposition. Elles grandirent et se prêtèrent la bague. Elles étaient très heureuses avec les garçons. Elles faisaient de très jolies rencontres et les garçons les rendaient heureuses. Est- ce que leur bonheur était dû au pouvoir de la bague et de la sorcière ou seulement au hasard ? Léonie ************************************************************************************************* La petite fille à la bulla Le jour de ses vingt et un ans Arthur acheta une toute petite maison à quelques kilomètre de chez sa grande-sœur Amélia. Elle l’aida à déménager toutes ses affaires.La maison était très petite dans un lieux sombre, le jardin ressemblait à une forêt tellement il y avait d’arbres qui l’entouraient. Arthur alluma la radio et commença à ouvrir les cartons, Amélia s’en alla et le laissa seul.En balayant le couloir ses yeux virent au sol une bague en d’or et en gemme, il la ramassa et la mit dans un tiroir. La bague l’intriguait tellement qu’il essaya de la porter.Tout d’un coup il réussit à la mettre à l’auriculaire.Arthur vit une porte blanche apparaître,il entra et traversa un couloir extrêmement lumineux.Il arriva dans un jardin rempli d’arbres et de fleurs puis il se rendit compte que c’était le jardin de sa maison, plus belle que jamais.Il découvrit dans ce monde des merveilles comme de l’argent, un beau jardin, une belle maison : tout ce dont il rêvait. Arthur rencontra des personnes très sympathiques,mais il y avait un vieil homme qui lui disait de quitter ce monde.Arthur décida de partir de cet endroit paradisiaque. Quelques semaines plus tard,il commença à être effrayé car la porte qui menait au chemin devint noire et une mauvaise odeur s’en dégageait.Curieux,Arthur entra avec une légère angoisse. Le couloir était sombre seule une petite lanterne éclairait le chemin. Arrivé à destination le paradis était devenu un enfer : les arbres et les fleurs étaient morts, la terre était noire et la maison rouge sang.Il se retourna, essaya d’ouvrir la porte,elle était fermée.Il se retrouva enfermé dans ce monde.Le vieille homme vint le voir et lui dit de trouver la petite fille à a bulla.Elle avait un pendentif qui le ferait sortir de ce monde et combiné à l’action de la bague il pourrait être protégé. La bague commença à briller dans une direction,Arthur arriva devant un puits. Il ouvrit et trouva la petite fille à la bulla.Elle lui dit que la bague brillerait dès qu’elle chante-rait et qu’à ce moment là il pourrait repartir.Elle commença à chanter, Arthur fut inquiet et soulagé.Une créature étrange apparut et les poursuivit ils coururent de toutes leurs forces cherchant,un moyen de s’échapper. La petite ne s’arrêta pas de chanter mais il vit le monde qui commençait à dis-paraître sous ses yeux.Ils se donnèrent la main et sautèrent dans un lac glacé. Arthur ouvrit les yeux.Il était au milieu du couloir dans sa maison.Il entendit une sonnette,se leva et ouvrit la porte.Il était trempé et effrayé,il prit sa sœur dans ses bras et vit sa main.Elle avait à l’auriculaire la bague et au fond de son oreille il entendait la mélodie de la petite fille à la bulla. Sarah ********************************************************************************************************** Descripción por Léonie  El objeto es un anillo. Está hecho de oro. Los colores que veo son el verde y el dorado. Es un anillo muy antiguo. Pesa 19,8 gramos y mide 2 centímetros de diámetro. Podemos encontrar esta obra de arte en España, en Lugo. Tienes que ir a ver este objeto porque es original.

************************************************************************ Il avait douze ans. Il s’appelait Esteban et il vivait à Carthagène, en Espagne dans une rue calme d’où on pouvait entendre la mer. Il avait une passion pour la marine, depuis ses cinq ans. Il rêvait de partir en mer avec ses parents. Hélas, sa mère était décédée à cause d’une maladie. Esteban, inconsolable, décida de se réfugier dans la marine. Et à ses vingt ans il s’engagerait dans l’armée maritime la plus proche. Son père qui se sentait impuissant décida de l’emmener dans un grand musée du pays pour son anniversaire. Esteban fut très heureux, cela faisait longtemps que son père ne l’avait pas vu comme ça. Le jour de son anniversaire, le père et le fils allèrent à ce fameux musée. Pour Esteban ce n’était pas n’importe lequel, c’était le musée national d’archéologie sous-marine. Aujourd’hui c’était le plus beau jour de la vie d’Esteban, il n’avait rien loupé de l’exposition. Mais son attention se porta sur une pièce, une très ancienne pièce d’une grande beauté, malgré le fait que la rouille l’ait rongé avec le temps. Sur la face, un bateau était gravé, une galère prétorienne, plus exactement, il symbolisait la flotte du pays. Sur son socle, il était inscrit qu’elle avait été fabriqué au premier siècle et qu’elle était en bronze. Depuis son douzième anniversaire, des années avaient passées, Esteban était presque un homme, il avait dix-sept ans et le lendemain, il en aurait dix-huit. Esteban était impatient, il n’arrivait pas à s’enlever de la tête que dans deux ans, il allait devenir marin. Le soir il avait été se coucher très rapidement. A peine avait-il fermé les yeux qu’il dormait déjà. Le lendemain matin il se réveilla avec le sentiment que cette journée allait être géniale. Cette journée passa plutôt vite pour Esteban. Le repas se passa à merveille. A table son père en face de lui, il était heureux mais il l’aurait été encore plus, si sa mère avait été là. Il se dit qu’elle aurait été fière du jeune homme qu’était devenu son fils. Son père ramena le gâteau mais sans s’asseoir, avant il avait fait un aller-retour dans sa chambre, ramenant une petite boite emballée dans du papier. Il lança un sourire à Esteban et lui tendit le paquet. Esteban, l’air surpris se demanda si cela était pour lui puis il l’ouvrit, il déchira le papier avec précaution, puis il vit une magnifique boite en bois verni. Il regarda son père qui le regarda avec douceur. Esteban en conclut qu’il devait ouvrir la boite. A sa grande surprise il vit la pièce du musée ou en tout cas sa copie exacte. Il s’empressa de prendre son père dans ses bras, Esteban n’avait jamais oublié cette magnifique et pourtant ancienne pièce. Il y avait les mêmes symboles, le même bateau, tout se ressemblait. Il dégusta une bonne part de son gâteau avant d’aller dormir. Le père d’Esteban était aux anges il avait réussi à voir son fils heureux comme jamais il ne l’avait été après le décès de sa mère. Pourtant cette nuit-là Esteban n’arrivait pas à fermer l’œil bien qu’il fut heureux et bien dans sa peau, il regarda sur sa table de chevet et il aperçut la boite ouverte avec la pièce à l’intérieur. Quand il parvint enfin a s’endormir, il lui sembla qu’on lui parlait, une voix douce flottait dans sa chambre. Il ouvrit les yeux et la voix s’arrêta net, elle disait ‘’Réveille-toi, réveille toi.’’. Il trouvait ça étrange qu’une jeune fille vienne le réveiller à une heure aussi tardive. Mais il se dit qu’il avait tout inventé et que ce n’était pas possible, il ferma les yeux et s’endormit. Son réveil fut calme, il ouvrit les yeux pour regarder sa table de chevet et vit qu’il n’y avait plus rien dessus à part la boite ouverte et la pièce. Tout avait été projeté à terre, ses livres, sa lampe, des photos de bateau et de la mer et le collier de sa mère. Il se demanda comment tout cela aurait pu tomber sans que ne bougent la boite ni la pièce. Sa journée se passa comme habitude et comme tous les soir il alla se coucher vers vingt-trois heures mais cette fois encore il n’arriva pas à s’endormir puis il entendit des pas dans sa chambre. Il avait l’impression que les objets bougeaient comme si quelqu’un les prenait, les regardait puis les reposait. Il ouvrit les yeux discrètement puis il aperçut une silhouette pâle. Ce n’était pas une jeune fille de dix-sept ans, mais une petite fille de dix ans à peine, touchant un peu à tout, faisant des aller-retours de droite à gauche. Elle trottinait, prenait un objet, s’asseyait puis jouait avec. Tous les objets qu’elle prenait, elle les laissait à terre à l’endroit où elle était assise. Enjambant les affaires d’Esteban, la petite fille s’approcha de lui pour lui demander d’une voix douce s’il dormait, il lui répondit que non en murmurant, la fille eut un sursaut, aussitôt Esteban lui dit de ne pas s’inquiéter, qu’il n’était pas méchant. La fillette lui demanda son nom, il lui répondit puis s’empressa de lui poser la même question. Il fut frappé quand la petite fille lui dit qu’elle portait le même nom que sa mère, elle s’appelait Anaëlle. Elle lui demanda pourquoi Esteban lui avait pris sa pièce. Il fallut un certain temps à Esteban pour comprendre que cette petite fille était malheureusement décédée et qu’elle avait vécu son dernier instant avec cette pièce. Mais très vite, elle lui dit qu’elle devait partir. Il n’eut pas le temps de dire un mot qu’elle n’était déjà plus là. Il pensa qu’il était fou, mais il décida d’en parler a son père qui le prenait encore plus pour un fou. Le père décida d’emmener son fils chez le médecin mais il ne trouva rien. Il avait tout essayé pendant des jours et des jours, et malheureusement, tous les matins, son fils lui disait la même chose… Il lui disait qu'elle était revenue. Mais un jour Esteban ne se réveilla pas. Son père était abattu, il ne ressentait plus rien, il n'avait plus de raison de vivre. Une semaine plus tard, il n'allait pas mieux, il était toujours aussi triste, il ne mangeait plus, ne buvait plus, ne riait plus, il ne vivait plus. Ainsi, il attendait la mort. Il se demandait ce qu'il avait pu faire pour mériter tout ça. Il était vingt heures, il dînait, ou plutôt il essayait d'avaler quelque chose. Il alla se coucher puis il entendit des pas, il se leva et cria de le laisser tranquille. Mais les pas augmentaient, ils allaient dans tous les sens, mais il s'arrêta d'un coup quand il aperçut une dame très élégante. Il cligna des yeux plusieurs fois mais c'était bien sa femme en face de lui, sa bien-aimée, Anaëlle. Il s'assit, prit sa tête entre ses mains puis laissa échapper un soupir, il se leva puis aperçut un être hideux, impossible de savoir si c'était une femme ou un homme. A ce moment-là, il se demanda si c'était la faucheuse ou si sa femme était devenue la faucheuse. Une semaine plus tard, le corps du père d’Esteban fut retrouvé gisant sur le sol. Personne ne savait de quoi le père et le fils étaient morts. Tout avait été détruit dans la maison comme si le père d'Esteban s'était débattu contre quelque chose ou quelqu'un. La maison était horrible : il y avait des assiettes cassées, des verres partout, les meubles étaient par terre, des traces de sang sur les murs, l'écran de la télévision était en miettes, la salle de bain n'était pas mieux. Personne ne sut ce qui s'était passé. Océane ****************************************************************

********************************************************************* Voici l’histoire de Jack. Jack était un habitant d’Espagne en plein cœur d’une forêt qui possédait peu d’habitants. Il était plutôt grand avec de longs cheveux et peu de barbe. Jack était un chasseur expérimenté, depuis tout petit il chassait avec son père, tous les matins. Jack était toujours avec son chien à chaque fois qu’il partait chasser car son père n’avait plus assez de force pour pouvoir l’accompagner. Mais un matin, tout ne se passa pas comme prévu. Ce matin-là, Jack se leva plus tôt que d’habitude. Son chien avait attrapé un virus qui l’empêchait de tenir debout. Du coup, pour la première fois, Jack partit à la chasse tout seul mais muni de son arme. Il partit juste avant que le soleil ne se lève. Jack était serein, mais sur le chemin, il vit un espèce de morceau de viande. Il se dit qu’il allait passer une bonne partie de chasse car il pensa qu’il y avait du gibier pas très loin. Mais, plus il continuait à marcher et plus il voyait de morceaux de viande par terre. Jack commença à se poser des questions. Il croisa des têtes de serpents sans vie, entourées d’oiseaux qui étaient en train de dévorer ces têtes effroyables. Tout à coup, Jack entendit son nom résonner dans toute la forêt de plus en plus fort. Jack était effrayé mais cela ne serait que le début de son enfer. Tout à coup, alors que le soleil venait de se lever, le ciel en quelques secondes devint tout noir et la lune apparut. Au loin, une ombre se forma, Jack l’aperçut. Mais l’ombre s’avança de plus en plus vers Jack. Effrayé, Jack se cacha derrière un arbre. C’était un homme très bizarre avec une longue barbe et de de grande taille. Il avait en sa possession une grande fourche et un sablier, mais ce qui intriguait le plus Jack c’était que derrière son dos il avait deux énormes ailes noires. Jack se fit voir rapidement, il courut de toutes ses forces, mais l’homme qui l’avait aperçu finit par être juste devant son visage. L’homme lui dit qu’il voulait se venger de lui car croyait que Jack était l’homme qui cachait sa femme quelque part avec ses enfants. Jack le supplia de le lâcher, mais l’homme étrange cracha plein de serpents très étranges. Ils attaquèrent Jack. Jack ne résista pas. Le lendemain matin, Jack fut retrouvé par un autre chasseur en mille morceaux, avec une plume noire sur le dos. Robin ***************************************************************************** Descripción por Robin Voy a presentar una estatua que se llama "AION-CHRONOS". Está hecha de mármol, no está pintada. Los colores que veo son el blanco y el beige. En una obra muy antigua, pertenece al periodo romano. Mide 1,7 metro de altura y 34 centímetros de anchura. La estatua representa a un hombra. Podemos encontrar esta obra de arte en el museo de arte romano de Mérida. Mérida está en el suroeste de España. Te aconsejo que vayas a ver esta obra de arte porque es diferente y espectacular.

******************************************************************************** Quand cela arriva tout bascula pour moi. Nous étions dans la voiture quand nous entendîmes, un bruit si sourd et si imposant que les vitres de la voiture se brisèrent en mille morceaux. Nous nous arrêtâmes et nous vîmes dans le ciel un champignon si rouge et si lumineux que nous pensâmes que cela était une explosion nucléaire ou des ovnis. Quand nous regagnâmes notre maison en tremblant car il n’y avait ni courant, ni radio, ni réseau, nous ne savions pas quoi faire. Le lendemain tout était revenu. Les informations disaient qu’une usine pétrochimique avais explosé suite à de mauvaises manipulations. Quelques jours plus tard ma mère me dit que mon oncle qui travaillait dans cette entreprise avais succombé suite à l’effondrement du toit. Une semaine plus tard nous l’enterrâmes avec beaucoup d’émotion. Le soir de l’enterrement je ne puis dormir car j’entendais des voix dans ma tête, sûrement l’émotion. Mais je trouvais cela bizarre car les nuits qui suivirent j’entendis cette voix qui disait : « je me suis vengé ». Et toutes les nuits j’entendais la même phrase. Un jour les médias nous dirent la vérité sur la cause de l’explosion . Ils annoncèrent qu’en fait personne ne connaissait la cause de l’explosion. Je trouvais cela louche car s'ils ne savaient pas ce qu’il s'était passé alors pourquoi l’usine avait-elle explosé ? Je fis des recherches sur internet et je vis qu'à l'emplacement de l'usine, il y avait avant un cimetière romain. Et puis un jour alors que je rentrais après une journée de cours, je vis sur le mur de ma chambre une phrase en latin écrite avec du sang qui disait : « je me suis vengée ». La police ne savait pas avec quel sang on l'avait écrit et qui avait fait cela. Un jour plus tard, une signature apparut sous de la phrase : « la petit fille sous l’usine ». Je compris que l’usine avait explosé à cause de cette personne. Mais pourquoi ? Je compris que cette personne voulait la mort de mon oncle et de toute ma famille. Il ou elle, ou cette chose, nous abattit tous un par un, la police classa cette affaire dans les dossiers non élucidés. Adrien ********************************************************************************

************************************************************************** Cela s’est passé le 8 mai 1995 cette journée a bouleversé ma vie. Tout commença le 25 avril, mes parents venaient d’acheter une maison dans un petit village dans le nord de l’Espagne. Mes grands-parents proposèrent à mes parents de m’y emmener avec une amie pendant les vacances parce que mes parents travaillaient et que nous nous ennuyions. Et puis ma grand-mère connaissait cet endroit car autrefois cette maison lui appartenait. Nous partîmes le lendemain matin aux aurores et nous arrivâmes tard dans la soirée à vingt-heures trente, pile pour le repas. Le temps que ma grand-mère prépare le repas, mon amie Hines et moi allâmes préparer notre chambre. Nous rangeâmes nos habits dans les armoires puis nous allâmes manger dans la cuisine. Après avoir fini de manger, nous commençâmes à visiter la maison. Quelques minutes plus tard il ne nous manquait qu’un seul endroit à visiter : c’était la cave. Nous descendîmes pas à pas, il y avait plein de poussière, il n’y avait point de lumière. Nous arrivâmes en bas, nous trouvâmes une lampe de poche. La cave était pleine de toiles d’araignées et il y avait des meubles cassés, une ancienne cheminée éteinte avec du bois mort à l’intérieur, les marches ne tenaient presque plus. Nous cherchâmes des objets que ma grand-mère avait perdus. C’étaient des objets de famille parmi lesquels il y avait une pièce en or. Nous remontâmes au rez-de-chaussée, je lui donnai les objets qu’elle m’avait demandés. Je gardai avec moi la pièce en or, elle ne s’en rendit pas compte. Le lendemain matin, Hines et moi annonçâmes que nous allions nous promener dans le village. En réalité nous avions appelé un expert en bijoux pour savoir si cela était bel et bien de l’or. Il nous donna rendez-vous dans la matinée vers dix heures, nous arrivâmes dix minutes en avance. Il regarda la pièce et demanda s’il pouvait la voir de plus près. Après avoir examiné la pièce, il nous confirma que c’était de l’or. Il avait déjà vu cette pièce auparavant et il nous dit que les gens qui la possédaient étaient morts. Ce qu’il fallait savoir c’était qu’il ne fallait pas mouiller la pièce sinon des choses étranges se passeraient. Nous rentrâmes à la maison. Deux jours plus tard, Hines et moi voulûmes nettoyer la pièce avec de l’eau mais à partir de ce moment-là, il se passa des choses étranges. Nous avions complètement oublié qu’il ne fallait pas mouiller la pièce. Le soir même, nous nous levâmes en pleine nuit car nous avions faim. Nous entendîmes des bruits étranges comme si plusieurs personnes marchaient dans la cave. Nous étions très inquiètes et affolées. Nous crûmes que c’était le fruit de notre imagination et que nous étions peut être fatigués. Et puis nous allâmes nous recoucher. Le lendemain matin, nous nous levâmes et nous vîmes qu’il faisait soleil. Nous voulûmes nous baigner. Nous allâmes dans la chambre pour nous mettre en maillot mais nos affaires avaient toutes disparu. Nous cherchâmes partout dans la maison mais nos affaires s’étaient complètement envolées. Nous allâmes voir dans la cave pour vérifier, Hines passa la première. Nous descendîmes les escaliers. Tout à coup une marche se cassa et elle tomba. Je courus pour voir si elle n’était pas blessée, elle n’avait rien même pas une égratignure. Puis je tournai la tête et je vis toutes nos affaires. Nous reprîmes toutes les affaires et nous remontâmes mais tout à coup la porte se ferma sur nous. Nous étions bloquées, nous réussîmes à défoncer la porte avec une hache. Nous étions pétrifiées et terrorisées. Nous remîmes toutes nos affaires en place et nous allâmes nous baigner. Le soir même après avoir mangé, nous allâmes dans notre chambre. Nous entendîmes des nouveaux bruits, quelqu’un grattait au mur… Nous entendîmes aussi des voix puis quand j’étais en train de parler à Hines je vis une ombre derrière elle. Nous étions en train de dormir et tout à coup une personne commença à me tirer les pieds, je criai et Hines se réveilla. Puis tout a coup une personne me sauta dessus. Elle avait de longs ongles, des yeux tout ronds et blancs et elle était couverte de sang. Elle nous emmena dans la cave et nous attacha. Nous avions toujours la pièce en or sur nous, nous ne pouvions plus bouger. Mais heureusement mes mains étaient attachées au niveau de la poche de mon pantalon. J’avais un couteau dans ma poche droite et la pièce dans l’autre. Hines ,elle, avait un briquet dans la poche avant car elle fumait. Je réussis a me détacher discrètement puis je détachai Hines. Je me levai et sautai d’un coup sur le démon puis je lui plantai le couteau dans le cœur. Mais rien a faire, elle était toujours vivantes et Hines faisait des choses étranges. Je crus qu’elle était possédée. Puis je réfléchis. Et je compris tout, je pris le briquet qu’il y avait dans la poche d'Hines puis je jetai la pièce dans la cheminée avec le briquet et le démon prit feu. J’ai fini de raconter mon histoire. Depuis ce jour-là, je suis effrayée par les histoires surnaturelles. Cette histoire restera à jamais gravée dans ma tête. Angelina ******************************************************************* Descripción por Angelina, Delia y Océane.El objeto es una moneda. Está hecha de oro. Representa al emperador romano Arcadius.Es una obra de arte muy antigua ya que pertenece al periodo romano. Está un poco estropeada. Mide dos centímetros de diámetro, es pequeña.Podemos encontrar esta moneda en el museo arqueológico del Castro de Viladonga en Lugo, en la comunidad autónoma de Galicia. Luga es una ciudad que se situa en el noroeste de España.Tienes que ir a ver esta obra de arte porque esta moneda es espectácular ,magnífica y diferente