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Sujets de Bac en Terminale S - SVT

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Thème 1-A-5 Les relations entre organisation et mode de vie, résultat de l'évolution : l'exemple de la vie fixée chez les plantes Les caractéristiques de la plante sont en rapport avec la vie fixée à l'interface sol/air dans un milieu variable au cours du temps. Elle développe des surfaces d'échanges de grande dimension avec l'atmosphère (échanges de gaz, capture de la lumière) et avec le sol (échange d'eau et d'ions). Des systèmes conducteurs permettent les circulations de matières dans la plante, notamment entre systèmes aérien et souterrain. Elle possède des structures et des mécanismes de défense (contre les agressions du milieu, les prédateurs, les variations saisonnières). L'organisation florale, contrôlée par des gènes de développement, et le fonctionnement de la fleur permettent le rapprochement des gamètes entre plantes fixées. La pollinisation de nombreuses plantes repose sur une collaboration animal pollinisateur/plante produit d'une coévolution. À l'issue de la fécondation, la fleur se transforme en fruits contenant des graines. La dispersion des graines est nécessaire à la survie et à la dispersion de la descendance. Elle repose souvent sur une collaboration animal disséminateur/plante produit d'une coévolution.

1 B

Thème 1-B - Le domaine continental et sa dynamique Thème 1-B-1 La caractérisation du domaine continental : lithosphère continentale, reliefs et épaisseur crustale La lithosphère est en équilibre (isostasie) sur l'asthénosphère. Les différences d'altitude moyenne entre les continents et les océans s'expliquent par des différences crustales. La croûte continentale, principalement formée de roches voisines du granite, est d'une épaisseur plus grande et d'une densité plus faible que la croûte océanique. L'âge de la croûte océanique n'excède pas 200 Ma, alors que la croûte continentale date par endroit de plus de 4 Ga. Cet âge est déterminé par radiochronologie. Au relief positif qu'est la chaîne de montagnes, répond, en profondeur, une importante racine crustale. L'épaisseur de la croûte résulte d'un épaississement lié à un raccourcissement et un empilement. On en trouve des indices tectoniques (plis, failles, nappes) et des indices pétrographiques (métamorphisme, traces de fusion partielle). Les résultats conjugués des études tectoniques et minéralogiques permettent de reconstituer un scénario de l'histoire de la chaîne. Thème 1-B-2 La convergence lithosphérique : contexte de la formation des chaînes de montagnes Les chaînes de montagnes présentent souvent les traces d'un domaine océanique disparu (ophiolites) et d'anciennes marges continentales passives. La « suture » de matériaux océaniques résulte de l'affrontement de deux lithosphères continentales (collision). Tandis que l'essentiel de la lithosphère continentale continue de subduire, la partie supérieure de la croûte s'épaissit par empilement de nappes dans la zone de contact entre les deux plaques. Les matériaux océaniques et continentaux montrent les traces d'une transformation minéralogique à grande profondeur au cours de la subduction. La différence de densité entre l'asthénosphère et la lithosphère océanique âgée est la principale cause de la subduction. En s'éloignant de la dorsale, la lithosphère océanique se refroidit et s'épaissit. L'augmentation de sa densité au-delà d'un seuil d'équilibre explique son plongement dans l'asthénosphère. En surface, son âge n'excède pas 200 Ma. Thème 1-B-3 Le magmatisme en zone de subduction : une production de nouveaux matériaux continentaux Dans les zones de subduction, des volcans émettent des laves souvent visqueuses associées à des gaz et leurs éruptions sont fréquemment explosives. La déshydratation des matériaux de la croûte océanique subduite libère de l'eau qu'elle a emmagasinée au cours de son histoire, ce qui provoque la fusion partielle des péridotites du manteau sus-jacent. Si une fraction des magmas arrive en surface (volcanisme), la plus grande partie cristallise en profondeur et donne des roches à structure grenue de type granitoïde. Un magma, d'origine mantellique, aboutit ainsi à la création de nouveau matériau continental. Thème 1-B-4 La disparition des reliefs. Les chaînes de montagnes anciennes ont des reliefs moins élevés que les plus récentes. On y observe à l'affleurement une plus forte proportion de matériaux transformés et/ou formés en profondeur. Les parties superficielles des reliefs tendent à disparaître. Altération et érosion contribuent à l'effacement des reliefs. Les produits de démantèlement sont transportés sous forme solide ou soluble, le plus souvent par l'eau, jusqu'en des lieux plus ou moins éloignés où ils se déposent (sédimentation). Des phénomènes tectoniques participent aussi à la disparition des reliefs. L'ensemble de ces phénomènes débute dès la naissance du relief et constitue un vaste recyclage de la croûte continentale

2 A

Thème 2-A - Géothermie et propriétés thermiques de la Terre La température croît avec la profondeur (gradient géothermique) ; un flux thermique atteint la surface en provenance des profondeurs de la Terre (flux géothermique). Gradients et flux varient selon le contexte géodynamique. Le flux thermique a pour origine principale la désintégration des substances radioactives contenues dans les roches. Deux mécanismes de transfert thermique existent dans la Terre : la convection et la conduction. Le transfert par convection est beaucoup plus efficace. À l'échelle globale, le flux fort dans les dorsales est associé à la production de lithosphère nouvelle ; au contraire, les zones de subduction présentent un flux faible associé au plongement de la lithosphère âgée devenue dense. La Terre est une machine thermique. L'énergie géothermique utilisable par l'Homme est variable d'un endroit à l'autre. Le prélèvement éventuel d'énergie par l'Homme ne représente qu'une infime partie de ce qui est dissipé.

2 B

Thème 2-B La plante domestiquée La sélection exercée par l'Homme sur les plantes cultivées a souvent retenu (volontairement ou empiriquement) des caractéristiques génétiques différentes de celles qui sont favorables pour les plantes sauvages. Une même espèce cultivée comporte souvent plusieurs variétés sélectionnées selon des critères différents ; c'est une forme de biodiversité. Les techniques de croisement permettent d'obtenir de nouvelles plantes qui n'existaient pas dans la nature (nouvelles variétés, hybrides, etc.). Les techniques du génie génétique permettent d'agir directement sur le génome des plantes cultivées.

3 A

Thème 3-A Le maintien de l'intégrité de l'organisme : quelques aspects de la réaction immunitaire Thème 3-A-1 La réaction inflammatoire, un exemple de réponse innée L'immunité innée ne nécessite pas d'apprentissage préalable, est génétiquement héritée et est présente dès la naissance. Elle repose sur des mécanismes de reconnaissance et d'action très conservés au cours de l'évolution. Très rapidement mise en œuvre, l'immunité innée est la première à intervenir lors de situations variées (atteintes des tissus, infection, cancer). C'est une première ligne de défense qui agit d'abord seule puis se prolonge pendant toute la réaction immunitaire. La réaction inflammatoire aiguë en est un mécanisme essentiel. Elle fait suite à l'infection ou à la lésion d'un tissu et met en jeu des molécules à l'origine de symptômes stéréotypés (rougeur, chaleur, gonflement, douleur). Elle prépare le déclenchement de l'immunité adaptative. Thème 3-A-2 L'immunité adaptative, prolongement de l'immunité innée Alors que l'immunité innée est largement répandue chez les êtres vivants, l'immunité adaptative est propre aux vertébrés. Elle s'ajoute à l'immunité innée et assure une action plus spécifique contre des molécules, ou partie de molécules. Les cellules de l'immunité adaptative ne deviennent effectrices qu'après une première rencontre avec un antigène grâce aux phénomènes de sélection, d'amplification et de différenciation clonales. Les défenses adaptatives associées avec les défenses innées permettent normalement d'éliminer la cause du déclenchement de la réaction immunitaire. Le système immunitaire, normalement, ne se déclenche pas contre des molécules de l'organisme ou de ses symbiotes. Cela est vrai notamment pour la réponse adaptative. Pourtant, les cellules de l'immunité adaptative, d'une grande diversité, sont produites aléatoirement par des mécanismes génétiques complexes qui permettent potentiellement de répondre à une multitude de molécules. La maturation du système immunitaire résulte d'un équilibre dynamique entre la production de cellules et la répression ou l'élimination des cellules autoréactives. Thème 3-A-3 Le phénotype immunitaire au cours de la vie Une fois formés, certains effecteurs de l'immunité adaptative sont conservés grâce à des cellules-mémoires à longue durée de vie. Cette mémoire immunitaire permet une réponse secondaire à l'antigène plus rapide et quantitativement plus importante qui assure une protection de l'organisme vis-à-vis de cet antigène. La vaccination déclenche une telle mémorisation. L'injection de produits immunogènes mais non pathogènes (particules virales, virus atténués, etc.) provoque la formation d'un pool de cellules mémoires dirigées contre l'agent d'une maladie. L'adjuvant du vaccin déclenche la réaction innée indispensable à l'installation de la réaction adaptative. Le phénotype immunitaire d'un individu se forme au gré des expositions aux antigènes et permet son adaptation à l'environnement. La vaccination permet d'agir sur ce phénomène. La production aléatoire de lymphocytes naïfs est continue tout au long de la vie mais, au fil du temps, le pool des lymphocytes mémoires augmente

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Thème 3-B Neurone et fibre musculaire : la communication nerveuse Thème 3-B-1 Le réflexe myotatique, un exemple de commande réflexe du muscle Le réflexe myotatique est un réflexe monosynaptique. Il met en jeu différents éléments qui constituent l'arc-réflexe. Le neurone moteur conduit un message nerveux codé en fréquence de potentiels d'actions. La commande de la contraction met en jeu le fonctionnement de la synapse neuromusculaire. Thème 3-B-2 De la volonté au mouvement L'exploration du cortex cérébral permet de découvrir les aires motrices spécialisées à l'origine des mouvements volontaires. Les messages nerveux moteurs qui partent du cerveau cheminent par des faisceaux de neurones qui descendent dans la moelle jusqu'aux motoneurones. C'est ce qui explique les effets paralysants des lésions médullaires. Le corps cellulaire du motoneurone reçoit des informations diverses qu'il intègre sous la forme d'un message moteur unique et chaque fibre musculaire reçoit le message d'un seul motoneurone. Thème 3-B-3 Motricité et plasticité cérébrale La comparaison des cartes motrices de plusieurs individus montre des différences importantes. Loin d'être innées, ces différences s'acquièrent au cours du développement, de l'apprentissage des gestes et de l'entraînement. Cette plasticité cérébrale explique aussi les capacités de récupération du cerveau après la perte de fonction accidentelle d'une petite partie du cortex moteur. Les capacités de remaniements se réduisent tout au long de la vie, de même que le nombre de cellules nerveuses. C'est donc un capital à préserver et entretenir.

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Thème 1-A-1 Le brassage génétique et sa contribution à la diversité génétique La méiose est la succession de deux divisions cellulaires précédée comme toute division d'un doublement de la quantité d'ADN (réplication). Dans son schéma général, elle produit quatre cellules haploïdes à partir d'une cellule diploïde. Au cours de la méiose, des échanges de fragments de chromatides (crossing-over ou enjambement) se produisent entre chromosomes homologues d'une même paire. Les chromosomes ainsi remaniés subissent un brassage interchromosomique résultant de la migration aléatoire des chromosomes homologues lors de la 1ère division de méiose. Une diversité potentiellement infinie de gamètes est ainsi produite. Des anomalies peuvent survenir. Un crossing-over inégal aboutit parfois à une duplication de gène. Un mouvement anormal de chromosomes produit une cellule présentant un nombre inhabituel de chromosomes. Ces mécanismes, souvent sources de troubles, sont aussi parfois sources de diversification du vivant (par exemple à l'origine des familles multigéniques). Au cours de la fécondation, un gamète mâle et un gamète femelle s'unissent : leur fusion conduit à un zygote. La diversité génétique potentielle des zygotes est immense. Chaque zygote contient une combinaison unique et nouvelle d'allèles. Seule une fraction de ces zygotes est viable et se développe. Thème 1-A-2 Diversité génétique et diversification des êtres vivants D'autres mécanismes de diversification des génomes existent : hybridations suivies de polyploïdisation, transfert par voie virale, etc. S'agissant des gènes impliqués dans le développement, des formes vivantes très différentes peuvent résulter de variations dans la chronologie et l'intensité d'expression de gènes communs, plus que d'une différence génétique. Une diversification des êtres vivants est aussi possible sans modification des génomes : associations (dont symbioses) par exemple. Chez les vertébrés, le développement de comportements nouveaux, transmis d'une génération à l'autre par voie non génétique, est aussi source de diversité : chants d'oiseaux, utilisation d'outils, etc. Thème 1-A-3 De la diversification des êtres vivants à l'évolution de la biodiversité Sous l' effet de la pression du milieu, de la concurrence entre êtres vivants et du hasard, la diversité des populations change au cours des générations. L'évolution est la transformation des populations qui résulte de ces différences de survie et du nombre de descendants. La diversité du vivant est en partie décrite comme une diversité d'espèces. La définition de l'espèce est délicate et peut reposer sur des critères variés qui permettent d'apprécier le caractère plus ou moins distinct de deux populations (critères phénotypiques, interfécondité, etc.). Le concept d'espèce s'est modifié au cours de l'histoire de la biologie. Une espèce peut être considérée comme une population d'individus suffisamment isolés génétiquement des autres populations. Une population d'individus identifiée comme constituant une espèce n'est définie que durant un laps de temps fini . On dit qu'une espèce disparaît si l'ensemble des individus concernés disparaît ou cesse d'être isolé génétiquement. Une espèce supplémentaire est définie si un nouvel ensemble s'individualise. Thème 1-A-4 Un regard sur l'évolution de l'Homme. D'un point de vue génétique, l'Homme et le chimpanzé, très proches, se distinguent surtout par la position et la chronologie d'expression de certains gènes. Le phénotype humain, comme celui des grands singes proches, s'acquiert au cours du développement pré et postnatal, sous l'effet de l'interaction entre l'expression de l'information génétique et l'environnement (dont la relation aux autres individus). Les premiers primates fossiles datent de - 65 à - 50 millions d'années. Ils sont variés et ne sont identiques ni à l'Homme actuel, ni aux autres singes actuels. La diversité des grands primates connue par les fossiles, qui a été grande, est aujourd'hui réduite. Homme et chimpanzé partagent un ancêtre commun récent. Aucun fossile ne peut être à coup sûr considéré comme un ancêtre de l'homme ou d u chimpanzé. Le genre Homo regroupe l'Homme actuel et quelques fossiles qui se caractérisent notamment par une face réduite, un dimorphisme sexuel peu marqué sur le squelette, un style de bipédie avec trou occipital avancé et aptitude à la course à pied, u ne mandibule parabolique, etc. Production d'outils complexes et variété des pratiques culturelles sont associées au genre Homo , mais de façon non exclusive. La construction précise de l'arbre phylogénétique du genre Homo est controversée dans le détail

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2.1

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Sujet corrigé

Sujet non corrigé

Spé

Valerie RambaudAcadémie orléans ToursLycée Claude de Francevalerie.rambaud@ac-orleans-tours.frVirginie MarquetAEFELycee francais de Viennevirginie.marquet@lyceefrancais.atSi vous voulez intégrer ce genially dans votre ENT : voici le lien.Adressez-vous à nous si vous souhaitez le code iframe !

Génétique 1

Sujet 0 : Conséquences des anomalies méiose et fécondation.

Pondichéry 2015 : Triplo X

Métropole 2014 : Brassage - diversité génétique

Liban 2016 : Reproduction sexuée 3 gènes

Pondichéry 2018 : Anomalie de méiose : duplication de gènes.

Am du Nord 2018 : Méiose et brassage

Génétique 2.1

NC 2013 : Evolution espèces Tritons

Métropole 2013 : Brassage génétique - QCM

Pondichéry 2017 : cri de la chauve souris

Polynésie 2016 : Evolution du cocotier

Métropole 2015 : Reproduction des variétés de Gorteria diffusa

Centres étrangers 2018 : Huîtres

Génétique 2.2

Polynésie 2014 : Evolution épinoches

Asie 2013 : Gène Agouti

Pondichéry 2016 : Les chattes Calico

Amérique du Nord 2015 : Les principaux rôles des mycorhizes

Septembre 2016 : Evolution des grizzly

Pondichéry 2017 : Homo naledi

Adaptation à la vie fixée 1

Pondichery 2013 : Adaptations à la vie fixée.

Métropole 2016 : Relation entre organisation et mode de vie

Adaptation à la vie fixée 2.1

Métropole 2015 : Pollinisation insecte.

Am du N 2014 : Pollinisation baobab - QCM

Polynésie 2016 : Cocotiers.

Afrique 2016 : riz de la mousson

Am du n 2016 : gènes de floraison

NC 2015 : Mycorhize du palmier dattier

Liban 2018 gènes de floraison

Adaptation à la vie fixée 2.2

Pondichéry 2014 : Dodo - Tambalacoque

Liban 2014 : Pollinisation de la tomate

Am du N 2015 : Mycorhize.

NC 2016 : Symbiose - nodosités

Les montagnes 1

Métropole 2013 : Le magmatisme en zone de subduction

Am du N 2014 : Erosion et recyclage de la CC

Am du S 2014 : Données historiques origine de la CC

Polynésie 2014 : Recyclage de la CC

Polynésie 2013 : Comparaison de la CC et de la CO

Pondichéry 2016 : Origine du mont Zagros

Am du N 2016 : 16 QCM géologie

Métropole 2013 : Magmatisme et subduction

Asie 2013 : origine magma en zone de subduction

Les montagnes 1 page 2

Polynesie 2016 : Rôle eau / magmatisme

Sujet Corrigé

Pondichéry 2017 : Ophiolites et chaine de montagne

NC 2015 : Les granitoïdes du Massif Armoricain

Les granitoïdes du massif ArmoricainLe massif Armoricain est un massif ancien formé il y a environ 330 millions d’années par subduction suivie d’une collision. Actuellement, on y observe en surface une forte proportion de roches de type granitoïdes.À l’aide des connaissances, présenter les mécanismes de mise en place des granitoïdes dans un contexte de subduction puis expliquer leur présence en surface dans certains massifs anciens tel le massif Armoricain.Correction possible (le Webpédagogique)I. Mécanismes de mise en place des granitoïdes dans un contexte de subduction. - Dans les zones de subduction, la déshydratation des matériaux de la LO subduite (métagabbros par exemple) libère de l'eau qu'elle a emmagasinée au cours de son histoire (de SV hydraté lors du vieillissement de la LO, on passe au SB moins hydraté lors de la subduction au faciès éclogite à plus haute P), ce qui provoque la fusion partielle des péridotites du manteau sus-jacent (l’eau percole à travers les péridotites, ce qui abaisse leur solidus). - Les magmas moins denses que l’encaissant remontent vers la surface, mais la plus grande partie desmagmas cristallise en profondeur et forme des plutons constitués de roches à structure grenue de type granitoïde (granites au sens large). - Un magma, d'origine mantellique, aboutit ainsi à la création de nouveau matériau continental.II. Comment expliquer leur présence en surface dans le MA, massif ancien ? - Les chaînes de montagnes anciennes ont des reliefs moins élevés que les plus récentes. On y observe à l'affleurement une plus forte proportion de matériaux formés en profondeur (type granitoïdes). En effet, les parties superficielles des reliefs tendent à disparaître. - Altération et érosion contribuent à l'effacement des reliefs (altération physique et chimique) - Des phénomènes tectoniques participent aussi à la disparition des reliefs. On peut observer un étalement gravitaire de la chaîne (qui commence en cœur de chaîne, avec la présence de contraintes extensives).La racine crustale remonte au fur et à mesure du vieillissement de la chaîne, pour maintenir l’équilibreisostatique entre la lithosphère et l’asthénosphère, ce qui fait remonter les roches profondes comme lesgranitoïdes en surface.

Liban 2017 : Collision continentale

Centres étrangers 2018 : Chaine de collision

Les montagnes 2.1

Liban 2013 : Géologie Am du Nord - QCM

Liban 2014 : Datation radioactive - QCM

Pondichéry 2015 : Isostasie - paléoplages - QCM

Am du N 2015 : Figures de compression Pyrénées.

Liban 2016 : Japon zone de subduction - QCM

Métropole 2016 : Magmatisme en zone de subduction

Métropole 2014 : Histoire des Alpes

Les montagnes 2.1

Pondichéry 2018 : Erosion

NC 2016 Formation de migmatites

Am du Nord 2018 : Formation des granitoïdes

Les montagnes 2.2

Emirats 2013 : Origine croûte océanique

NC 2014 : Epaisseur CC

Pondichéry 2015 : Histoire et volcanisme Turquie

Emirats 2015 : Erosion chaine de montagne

Polynésie 2015 : Géologie des Alpes

Métropole 2015 : Himalaya

Asie 2016 : figures sédimentaires

Géothermie 1

Pondichéry 2014 : Géothermie Bouillante

Métropole 2015 : Origine énergie interne Terre et utilisation

Géothermie 2.1

Géothermie 2.2

Liban 2018 - sources d'eaux chaudes de Luchon

Les plantes domestiquées 1

Métropole 2015 : QCM Séléction plantes domestiquées.

Les plantes domestiquées 2.1

Amérique du Sud 2013 Le blé

Les plantes domestiquées 2.2

Afrique 2016 : Sélection des tomates

Liban 2017 : une histoire de tomates

Immunologie 1

Liban 2014 : Défenses immunitaires infection virale.

Am du N 2015 : origine myasthénie

Polynésie 2015 : vaccination

Asie 2016 : Varicelle

Liban 2018 : Infection virale

Immunologie 2.1

NC 2014 : Diphtérie Tétatnos QCM

Polynésie 2014 : Anatoxine tétanique- QCM

Emirats 2015 : Exp de Nossal- QCM

Pondichéry 2016 :Test diagnotstic grippe - QCM

Asie 2013 : test Elisa - schéma

2ème PARTIE - Exercice 1 - Pratique d'un raisonnement scientifique dans le cadre d'un problème donné (3 points). LE MAINTIEN DE L'INTÉGRITÉ DE L'ORGANISME : QUELQUES ASPECTS DE LA RÉACTION IMMUNITAIRE L’ESF (Établissement du Sang Français) cherche à savoir si le sang d’un donneur peut être utilisé pour une transfusion. Pour éviter une éventuelle contagion, on recherche entre autres si cet individu a été récemment en contact avec le virus de l’hépatite B. Pour cela, on cherche à identifier les anticorps spécifiques que l’organisme aurait pu produire en réponse à une infection, en réalisant un test ELISA. Réalisez le schéma d’interprétation des résultats des puits 1 et 2 en utilisant les symboles proposés dans le document 1a, puis dites si l’ESF peut utiliser le sang du donneur en justifiant votre préconisation. Document 1a : Le test ELISA (Enzyme Linked ImmunoSorbent Assay) est un test immunologique destiné à détecter et/ou doser les anticorps dans un liquide biologique. Dans cette technique de dosage, les puits d’une microplaque sont tapissés avec une molécule spécifique du virus de l’hépatite B. La solution à tester est ensuite déposée dans les puits de la microplaque et si l’anticorps recherché est présent il va se lier à la molécule spécifique du virus. Un premier lavage est réalisé. Un deuxième anticorps, l'anticorps traceur, capable de se lier à l’anticorps recherché, est alors ajouté dans le puits. Un deuxième lavage permet d’éliminer les anticorps traceurs non fixés. L'anticorps traceur est couplé à une enzyme. On ajoute enfin une molécule incolore qui conduit à la formation d'un produit coloré si l’enzyme est présente. Document 1b : Résultats 1 : puits incolore correspondant au test du sang d’un individu non infecté 2 : puits coloré correspondant au test du sang d’un individu infecté par le virus de l’hépatite B 3 : puits coloré correspondant au test du sang de l’individu donneur à tester Correction : Le puits correspondant au test du sang de l'individu donneur montre la présence d'un produit coloré, comme dans le puits 2. L'individu donneur possède donc des anticorps dirigés contre le virus de l'hépatite B. On en déduit que l'individu donneur est infecté par le virus de l'hépatite B. La présence du virus de l'hépatite B chez cet individu empêche l'ESF d'utiliser ce sang pour le donner à des patients car l'individu donneur risque de transmettre le virus de l'hépatite B. L'individu donneur est séropositif pour le virus de l'hépatite B; c’est-à-dire qu'il possède les anticorps anti-virus hép B. Par mesure de précaution, son sang ne sera pas retenu (ou bien s'il doit l'être c'est après avoir fait une recherche du virus en particulier= peu probable de retenir cette option) schéma attendu :

Liban 2015 : Virus herpès

Septembre 2016 : Souris Scurfy

Enoncé Corrigé

Liban 2017 : Groupes sanguins

Immunologie 2.2

Métropole 2016 : Maladie auto-immune Thyroïde

NC 2015 : Effet antiinflammatoire des plantes médicinales

pondichéry 2018 : Effet d'un anti-inflammatoire.

Centres étrangers 2018 : Syndrome LAD

Système nerveux 1

Emirats 2015 : Réflexe myotatique

Amérique du N 2015 : la myasthénie

Nouvelle Calédonie 2016 : Synapse neuromusculaire

Système nerveux 2.1

Am du N 2013 : Exp de Loewi - QCM

Pondichéry 2014 : Réflexe myotatique - QCM

Polynésie 2015 : Curare - QCM

Asie 2016 : Une patiente sans cervelet

Système nerveux 2.2

NC 2013 : Maladie de Parkinson

Am du N 2013 : Syndactylie

Métropole 2013 : Botox

Liban 2016 : Myasthénie

Métropole 2014 : Anxiété chronique

Am du N 2016 : synapse

Glycémie et diabète.

Métropole 2014 : jus de banane

Climats du passé à l'avenir.

Emirats arabes 2015 - La fin de l'ordovicien

Amérique du Nord 2014 : Eruption volcanique et température.

Energie et cellule vivante

Pondichery 2015 Plantes Cam

Liban 2014 : Salamandre chlorophylienne

S'entrainer pour l'oral du bac : chloroplastes et photosynthèse

Pondichéry 2016 : fabrication d'un vin pétillant.

Méthodologie pour le Bac